Carine Knapen
Le site Web gouvernemental Our World in Data présente sur son site un graphique concernant la mortalité mondiale entre 1950 et 2099.
Entre 1950 et 2020, la mortalité n'a pas cessé d'augmenter, passant de 51,34 millions de décès par an à 58,39 millions de décès par an, ce qui est tout à fait logique étant donné que la population mondiale a fortement augmenté au cours de cette période. En fait, on peut parler, sans risque de se tromper, d'un pourcentage de réduction de la mortalité, étant donné que l'augmentation de la population est plusieurs fois supérieure à celle des décès. En 1950, il y avait à peine 2 milliards d'habitants sur terre. Si le compte est correct, nous sommes aujourd'hui 8 milliards.
En 2020 (première année Covid), il y a eu plus de décès que l'année précédente. 59,23 millions de décès toutes causes confondues contre 58,39 millions de décès en 2019. Différence de 840 000. C'est pas de moins que les 5 millions de décès dus à l'effet corona qu'on nous a dit ( sans compter les décès dus à toutes les autres conditions qui s'y rajoutent ).
Que voyons-nous pour l'avenir ? Dans les 20 prochaines années, 20 à 23 millions de personnes mourront chaque année de plus qu'avant 2020. En 2040, 81,05 millions de personnes mourront chaque année. En 2060, les décès atteindront 102 millions de personnes par an et en 2099, ils atteindront 121,79 millions de personnes par an.
Entre 2010 et 2019, le taux de mortalité le plus élevé a été enregistré en Océanie, en Amérique du Nord et du Sud ainsi qu'en Europe. Les décès les moins nombreux ont été enregistrés en Afrique et en Asie, où l'on observe simultanément des naissances élevées et une forte croissance démographique. Comment la situation est maintenant n'est pas encore connue car non publié sur le site, mais il sera guère différent.
Comment interpréter ces chiffres ?
Une analyse :
Il est de notoriété publique que l'Occident est sous l'emprise d'une population fortement vieillissante. Environ un quart de la population a plus de 65 ans. Ils partiront pour le paradis d'ici les 20 prochaines années ( = +- 250 millions de personnes : 20 = 12,5 millions par an en moyenne ).
Cela ne concerne que l'Occident, qui compte au total moins d'un milliard d'habitants (UE - États-Unis - Canada et Australie). Dans tous les autres continents, l'âge moyen est de 25 ans. "" Moyenne " signifie que la moitié ou plus a moins de 25 ans et que l'autre moitié est plus âgée. Ils échangeront également le temporaire contre l'éternel dans les 70 prochaines années.
La croissance démographique en l'Occident a fortement diminué au cours des 70 dernières années. Il y a moins de naissances.
La croissance la plus forte se situe en Afrique (+2% à +4%). En Europe, il y a eu des périodes de croissance négative (jusqu'à -2%) au cours des 20 dernières années. Ces dernières années, la croissance de la population en Occident a été faible (entre 0 et 1%).
La logique veut que si 25% de la population occidentale meurt dans les 20 prochaines années à cause de la vieillesse ou plus tôt, à cause d'une maladie (et cela arrivera), alors qu'il y a très peu de naissances, l'Occident entrera dans une spirale négative. Beaucoup moins de gens.
Les virus et les pandémies ainsi que l'instillation constante de la peur pourraient bien accélérer fermement les choses.
Il n'est pas surprenant que la politique d'immigration mise en place vise une immigration massive en provenance d'autres régions du monde et que de nombreuses mesures soient prises pour effacer l'individualité des groupes de population.
Tous facteurs pris en considération, il est possible que d'ici une cinquantaine d'années, l'Européen, tel que nous le connaissons, n'existera plus ou ne constituera qu'une minorité. Dans le pire des cas, l'Europe sera dépeuplé.
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