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Photo du rédacteurWWHISPER

LE PREMIER MINISTRE SRI LANKA DÉCLARE OFFICIELLEMENT LA FAILLITE DU PAYS.

Par :


une crise financière dévastatrice

l'incapacité de rembourser les dettes existantes au FMI

inflation élevée

grave crise économique

des pénuries de services de base essentiels, laissant 80 % de la population sans nourriture suffisante

Il y a beaucoup de soulèvements de la population et d'émeutes au Sri Lanka. Le peuple en a assez. La décision du Premier ministre de déclarer officiellement le pays en faillite est une conséquence logique de tout ce qui précède. Il n'avait pas d'autre choix (désormais).

https://www.news.com.au/finance/economy/world-economy/collapsed-sri-lankan-prime-minister-declares-nation-now-bankrupt/news-story/4036098a1771187562f81864146ee308


Ici, les experts et les politiciens pensent différemment de l'inflation, de la dette souveraine, de la récession et des déficits possibles.

L'inflation est une victoire pour le gouvernement, disent-ils. Nous nous dirigeons même vers un budget équilibré !

"Ceux qui sont endettés, de préférence beaucoup, profitent de la dépréciation de l'argent : après tout, la dette réelle s'évapore visiblement. En ce sens, la période actuelle où les taux d'inflation culminent à environ 10 % est une aubaine pour tout gouvernement endetté : en Belgique, cela signifie tout le monde.

"Mais il y a plus que cela, pour les États fédérés. Parce que la Flandre, Bruxelles et la Wallonie dépendent dans une large mesure des dotations, qu'elles reçoivent par le biais de la loi de finances et donc du gouvernement fédéral : celles-ci courent avec l'indice.

"L'effet sur les recettes de ces gouvernements se fait donc sentir beaucoup plus tôt en Flandre et en Wallonie, que pour le gouvernement fédéral, qui est un peu en retard, par le biais des impôts. Bien qu'il y ait là aussi un effet important : sur les accises à la pompe et aussi sur les taxes (par le biais des disques), il y a toutes sortes d'effets positifs dus à l'inflation sur les recettes. Seulement, en raison des mesures de pouvoir d'achat, entre autres, les dépenses sont également plus élevées en conséquence.

Quoi qu'il en soit : pour la Flandre, il y a donc un "effet très important" sur le budget, conclut la SERV, le Conseil économique et social de Flandre.

Lequel a calculé que s'il y a 2,4 milliards de dépenses supplémentaires dues à l'inflation pour le budget flamand, il y a aussi quelque 3,6 milliards de recettes supplémentaires en 2023, et 3,4 milliards en 2024.

Cela signifie que le gouvernement du premier ministre Jan Jambon (N-VA) est très proche de l'équilibre en 2024, il y aurait encore un déficit de quelque 260 millions d'euros, d'autant plus qu'il n'inclut pas dans ses comptes les dépenses d'Oosterweel et d'autres grands projets de construction.

Donc, immédiatement, un équilibre est à nouveau politiquement réaliste, à la fin de la législature. Face à un déficit abyssal au niveau fédéral, Jambon et cie ont ainsi pu établir des chiffres noirs flamands : pas inintéressant politiquement, si l'on veut mettre sur le marché une autre " histoire gagnante " sur cette équipe flamande. "

https://www.msn.com/nl-be/nieuws/overig/inflatie-is-zege-voor-overheid-zoveel-is-nu-wel-duidelijk/ar-AAZlEqx?ocid=msedgntp&cvid=5e5f5855e7c34f9e907ce093ec8f2550

Que disent-ils réellement ici ?

L'inflation a entraîné une forte hausse des prix. Tout ce que nous achetons est soumis à la TVA, aux taxes et aux droits d'accises. Plus le prix est élevé, plus les recettes de la TVA sont importantes et proviennent des taxes, droits et autres impôts que nous empochons.

Ainsi, nous, les citoyens, remboursons les dettes de l'État.

Et ils peuvent alors en rire pleinement aussi.....

Du moins, selon le gouvernement flamand, qui se frotte les mains. Du côté fédéral, en revanche, elle est plus pauvre. Il y aurait un déficit vertigineux au niveau fédéral. Attendez-vous donc à toutes sortes d'augmentations d'impôts. Le fédéral voudra également remplir son puits avec des recettes supplémentaires, à savoir des taxes.

Avec une dette publique totale de plus de 510 milliards d'euros et des dettes qui ne cessent de s'accumuler (ça ne s'arrête jamais), notre pays est également en faillite depuis longtemps.

L'inflation élevée entraîne une hausse des taux d'intérêt sur les dettes à long terme. La Banque fédérale de réserve des États-Unis a récemment relevé ses taux d'intérêt de 0,75 point de pourcentage. En juin 2022, la BCE a également déjà relevé les taux d'intérêt pour juillet 2022 de 0,25 point de pourcentage, avec la possibilité de nouvelles hausses.

https://www.rte.ie/news/business/2022/0609/1303722-ecb-interest-rates/

Cela sera ressenti par tous ceux qui ont un prêt en cours dans un avenir proche. Et... l'État belge en fera autant. Après tout, elle doit payer des intérêts mensuels sur les 510 milliards de la dette nationale. Si les taux d'intérêt augmentent, les paiements mensuels d'intérêts augmentent. Vous êtes avec moi ?


https://www.news.com.au/finance/economy/world-economy/collapsed-sri-lankan-prime-minister-declares-nation-now-bankrupt/news-story/4036098a1771187562f81864146ee308





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