Depuis le début de la pandémie, presque aucune autopsie n'a été pratiquée en Europe. Lorsque la famille d'une personne décédée en fait la demande pour connaître la véritable cause du décès de leur proche, elle est généralement refusée.
Depuis le printemps 2020, il y a également beaucoup moins de funérailles régulières qu'auparavant. La crémation est préférable. Dans le cas de personnes décédées de ou avec le Covid, la crémation a même été exigée, soi-disant pour éviter toute nouvelle infection après la mort.
La crémation est également plus la règle que l'exception pour les personnes décédées subitement depuis début 2021.
Tous les crématoriums sont fortement surchargés. Il y a même des listes d'attente.
Pourquoi insiste-t-on tant sur la crémation ?
Parce qu'une crémation détruit toutes les traces d'une mort suspecte.
Une autopsie peut déterminer la véritable cause d'un décès. L'embaumement d'un cadavre, quant à lui, peut également fournir un certain nombre d'informations.
L'embaumement (thanatopraxie) fait en sorte que le corps du défunt ne puisse pas se décomposer naturellement et reste donc conservé plus longtemps. Un corps embaumé reste beau et naturel jusqu'au jour des funérailles.
L'embaumement ne nécessite généralement pas de réfrigération, ce qui permet d'exposer le corps à domicile.
L'embaumement consiste à drainer le sang du défunt et à le remplacer par un liquide (le formol). Cela a un effet conservateur sur le corps, ralentissant la décomposition.
Dans nos régions, l'embaumement d'un cadavre n'est pas courant. Aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, cependant, ce traitement est bien établi.
Les embaumeurs reconnus débalent maintenant ce qu'ils ont trouvé dans les cadavres depuis le début de l'année 2021 : de grandes structures fibreuses blanches attachées à des caillots de sang, parfois jusqu'à un mètre de long.
Un documentaire à voir absolument.
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